Qui a inventé la liqueur St-Germain ?

Qui a inventé la liqueur St-Germain ?

Ce qui a été reconnu comme du « ketchup de barman » par le New York Times et la communauté concernée est une idée originale de 2007 du regretté Robert J. Cooper. À une époque où les liqueurs n’étaient pas couramment utilisées, Robert a pris un risque avec l’entreprise, à tel point qu’il a été averti par son père sceptique et créateur de Chambord, Norton « Sky » Cooper, « Je te réembaucherai dans un an si tu échoues ». « . Toute la famille Cooper fabrique des spiritueux depuis le début des années 1900, et Cooper Spirits Company est désormais responsable non seulement de St-Germain, mais également de Lock Stock & Barrel et de Hochstadter’s Slow & Low. L’audace du jeune Cooper a porté ses fruits, car cet ingrédient au goût unique pouvait être facilement éclaboussé dans des cocktails et secoué dans des boissons et est devenu apprécié des barmans du monde entier.

Robert a donné à cette liqueur le nom d’un quartier artistique remarquable de Paris, connu sous le nom de St‑Germain‑des‑Prés. Offrant un palais floral et fruité sucré, le produit a été fabriqué à partir de fleurs de sureau récoltées et a acquis sa propre réputation, générant même de la publicité lorsque l’ingrédient principal est apparu sur le gâteau de mariage de Meghan Markle et du prince Harry.

Faire sa marque dans l’hospitalité

verser une bouteille de liqueur St-Germain

Pour produire une bouteille de St-Germain, jusqu’à 1 000 fleurs de sureau sont cueillies à la main au printemps. La liqueur colorée ne contient aucun additif ajouté mais tire sa teinte du pollen présent dans les fleurs des fleurs cueillies. Les lots sont numérotés et étiquetés par un atelier pour marquer l’année de récolte des fleurs. La liqueur de fleur de sureau est conditionnée dans une bouteille qui sent l’Art déco, annonçant la douce créativité de l’époque et de la communauté que Cooper espérait capturer.

L’histoire raconte que Robert Cooper était en train de boire à Londres dans les années 2000 lorsqu’il a dégusté une boisson à base de sirop de fleur de sureau et a eu l’idée de fabriquer sa propre liqueur. Au moment où Cooper a lancé son produit sur le marché, les barmans recherchaient des ingrédients susceptibles de faire sensation, au propre comme au figuré. La liqueur florale était la réponse, et le succès de Cooper avec St-Germain l’a inspiré à relancer la Crème Yvette et le Slow & Low de Hochstadter. À ce jour, l’héritage de Cooper perdure au sein de l’industrie du barman.

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